Toulouse
Depuis le tarmac, je suis ébloui
Par tes pavillons roses
Dans un silence morose
Le vent du sud traverse les Pyrénées
Pour étendre son drap sur tes sublimes pavillons
Soudain, le soleil darde les toits
Il y fait beau, le climat est courtois
Au centre ville, l’odeur de ta riche gastronomie
Se mêle au son du pas d’une jeunesse émerveillée
La Garonne me sert de boussole
Je sillonne les ruelles nichées de l’Esquirol
Pour contempler tes magnifiques architectures
Je vadrouille dans tes parcs verdoyants
Et le week-end, je farandole dans tes bars époustouflants
Au bout de six mois , je me suis entiché
Mon amour à la ville, semble bien scellé
Aujourd’hui, à chaque aurore dans la ville, je m’épanouis