Les 10 ans du journal en photos

Pour les 10 ans de Reynerie Miroir a Ă©tĂ© organisĂ©e une promenade dans le parc du chĂąteau. Nous nous sommes retrouvĂ©s Ă  dĂ©ambuler au grĂ© des lectures d’arbres en arbres, en Ă©coutant des prĂ©sentations des essences arboricoles particuliĂšres prĂ©sentes dans le parc, suivis de rĂ©fĂ©rences Ă  des numĂ©ros de Reynerie Miroir publiĂ©s au cours de ces 10 derniĂšres annĂ©es.

Voici ici un témoignage en photos avec quelques moments de cette belle aprÚs midi de printemps.
(Note : en cliquant sur les images vous les afficherez en plein Ă©cran, et pourrez les parcourir Ă  la maniĂšre d’un diaporama)

Les débuts de la promenade dans le parc, puis la lecture de Nicole et Véronique

Avec un texte d’Odile que voici :

LE MICOCOULIER

Ici nous avons un lieu historique, c’est pourquoi j’ai demandĂ© Ă  Annie d’ĂȘtre la.

En cet endroit mĂȘme, je peux l’attester en tant que fondatrice est nĂ©e la fabuleuse histoire de Reynerie-Miroir.

En effet ce jour-là, Annie plus connue sous le nom de Annie Marx fille aßnée des frÚres Marx
..

s’est arrĂȘtĂ©e ici et se tournant vers son frĂšre Groucho que vous reconnaissez facilement Ă  sa ressemblance avec Jean-François ! Et lui a dit du ton dĂ©finitif et pĂ©remptoire qu’elle affectionne :

  • Il y a un trĂ©sor dans la maison d’ A CĂŽtĂ© !

Mais Groucho qui avait les pieds sur terre rĂ©pondit :

  • Mais il n’y a pas de maison Ă  cotĂ© !!!

Cependant, Annie qui a toujours dĂ©fendu son autoritĂ© d’aĂźnĂ©e , de rĂ©pondre :

  • Ça ne fait rien nous allons la construire !

Et derechef nous avons pris place autour de la table désormais célÚbre pour graver ce qui a dicté nos premiers pas de journalistes de Reynerie Miroir, enthousiastes, créatifs, curieux, généreux de notre temps, dévoués etc.

Et cet arbre splendide dont le nom ressemble Ă  une friandise( 500gr de micocoules Ă  la sĂšve de barbapapa svp !) mĂ©ritait bien qu’on s’y arrĂȘtĂąt. Vous ĂȘtes frappĂ©s par sa taille, un Ă©lan vigoureux que rien ne semble devoir arrĂȘtĂ©, le tronc lisse et magnifique avec les yeux si caractĂ©ristiques, l’implantation puissante des branches tirĂ©es aussi vers le ciel au lieu de fuir Ă  l’horizontale comme c’est souvent le cas.

Depuis tout Ă  l’heure, le dĂ©but de cette ballade, vous avez compris la radicalitĂ© de notre engagement pour les arbres. Souvenez-vous du n°9 , il annonçait la publication de deux ouvrages : un livre de Nicole Fraga, notre spĂ©cialiste horticole, un ouvrage dĂ©licat, curieux et pĂ©dagogique, qui nous prend par la main pour un temps de contemplation serein , un autre de Annie Dufay Marx qui nous entraine dans une si belle promenade au fil de l’eau.

C’est lĂ  qu’est nĂ©e l’orientation qui n’a fait que se confirmer du journal pour les arts.

Enrique continue, avec le jardinier du parc Ă  cĂŽtĂ© de lui qui parle lui aussi du ginkgo biloba, car oui la fĂȘte de Reynerie Miroir s’est associĂ©e Ă  la fĂȘte des jardins de Toulouse :

Odette et Enrique, en haut du parc :

Martine et Nicole :

Sophie, AĂŻcha et Alays pour la derniĂšre lecture avant le concert de Calamity Jazz au chĂąteau :

Une jeune danseuse talentueuse qui danse pour nous une danse d’origine ArmĂ©nienne, juste avant quelques mots d’Enrique :

Jean François, qui a exposé ses tirages photographiques noir et blanc au chùteau pendant toute la journée :

Le concert de Calamity Jazz ; Annie, Véronique, André, Mattéo et les danseurs qui ont enflammé le dance floor :

Et pour finir, le GATEAU !

Et voilĂ  ! Comme vous pouvez peut ĂȘtre le voir transparaĂźtre Ă  travers ces quelques photos, ce fĂ»t une magnifique journĂ©e, plein de rencontre, de douceur printaniĂšre et de poĂ©sie aĂ©rienne. Vivement la prochaine ! Vive Reynerie Miroir !