Nous sommes donc au printemps 2023, et les arbres du parc des douves, parc qui doit subir une rénovation dans les mois qui arrivent, sûrement à partir de début 2024, sont dans un piteux état.
Constatons ensemble, si vous le voulez bien, la dĂ©gradation lente et annoncĂ©e de plusieurs grands arbres dont certains sĂ»rement au moins centenaires. Ce n’est pas difficile Ă observer, il suffit de se promener dans le parc des douves et dĂ©nombrer les arbres sans bourgeons ni feuilles. Ils ne sont pas dur Ă trouver. Les chĂȘnes sont les plus touchĂ©s, mais boulots, frĂȘnes et autres essences sont elles aussi trĂšs touchĂ©es.
Pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer je vous propose une visite en image, cliquez sur les images pour les avoir en grand :
Cela fait un an que la situation est connue, l’article suivant date de l’Ă©tĂ© dernier :
Comme conclusions nous pouvons donc constater que depuis l’Ă©tĂ© dernier, aucune forme de soin n’a Ă©tĂ© apportĂ© aux arbres en train de dessĂ©cher, les services et autres prestataires Ă©tant focalisĂ©s sur les travaux de la base nautique. MĂȘme le parc du chĂąteau est touchĂ© par l’assĂšchement des douves, comme pour le parc des enfants il va bientĂŽt ĂȘtre trĂšs facile de compter les arbres secs (ceux principalement approvisionnĂ©s en eau depuis les douves) :
ll parait pour le moins dĂ©placĂ©, et alors que la communication municipale insiste autant que faire ce peut sur le « plan 100 000 arbres », de laisser mourir aux yeux de tous, des arbres immenses, centenaires, qui procurent de l’ombre Ă nos enfant l’Ă©tĂ©. A commencer par l’entrĂ©e du parc des enfants : une douzaine d’arbres centenaires sont secs. Certes les structures de jeux seront amĂ©liorĂ©es, mais l’ombre va se faire rare dans le parc…
Concernant les travaux nĂ©cessaires de la base nautique : que l’on baisse le niveau du lac pour faciliter des travaux est une chose, que lors de cette action, on laisse dessĂ©cher nos arbres en est une autre.
Nous espĂ©rons tous que ces arbres vont rĂ©sister Ă ces conditions difficiles, mais il est de plus en plus compliquĂ© d’y croire.
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